Zoom sur les entraînements : Est-ce que vous savez bien vous servir de votre capteur de puissance?

Conseils nutrition 15-12-2019


Avoir un capteur de puissance fiable est une chose, s’en servir pour ses entrainements en est une autre. Si vous roulez à 300w et que vous ne savez pas à quelle zone d’effort cela correspond, le capteur de puissance ne révèle aucun intérêt.



 

Autrefois réservé à une élite et aux coureurs professionnels à cause de son prix et sa complexité de fonctionnement, le capteur de puissance se démocratise avec des prix accessibles, des capteurs proposés d’origines sur les vélos haut de gamme et un entretien simplifié, fini le temps où il fallait renvoyer son capteur pour un simple changement de pile.


Mais un capteur de puissance étant un réel investissement même si les prix tendent à baisser de plus en plus il faut tout de même justifier son achat, en dehors du « j’étais à 400w dans le petit raidard ».


Pour commencer intéressons-nous à comment marche un capteur de puissance.


 Un capteur de puissance est en réalité 2 capteurs distincts, un capteur de force (couple) composé de jauges de contraintes mesurant la déformation des matériaux du capteur (axe de la pédala/ manivelle/pédalier) et d’un capteur de cadence de pédalage (accéléromètre).


La puissance étant la force x la vitesse, ne reste plus qu’à un algorithme à traiter les données avant de les envoyer vers votre compteur. 


Mais dès lors comment optimiser l’utilisation de son capteur de puissance ?


 


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